jeudi 21 novembre, 2024
spot_img
Accueil Blog Page 2

Comment travailler tout en faisant un Tour du Monde

travail tour du monde

Avant le tour du monde

Avant de partir, on était comme des fous et on s’imaginait déjà travailler sur nos différents projets avec des points de vue de magiques.

Alors on s’est dit, de quoi est-ce qu’on a besoin ?

  • Une connexion internet
  • Un ordinateur

• L’ordinateur

Donc on s’est d’abord procuré chacun un MacBook Air pour allier puissance et légèreté. Et déjà là, on était comme des gamins en commençant à travailler dessus.


On avait des PC Windows bas de gamme avant alors ça nous a fait le même effet que si on te disait que demain tu aurais un téléporteur qui te permettrait de traverser Paris en 2 secondes.

Bref on s’est dit qu’on aurait dû en acquérir bien plus tôt.

Donc comme je l’ai dit au début, on pensait prendre chacun le nôtre. Mais même s’ils sont légers. Chaque gramme compte pour ce type de voyage, et donc on a décidé finalement d’en prendre qu’un. Tu vas comprendre pourquoi par la suite.

• Internet

Là il y a deux possibilités, utiliser la wifi et le réseau mobile (via le partage de connexion).

Pour le réseau mobile, on est abonné chez Free depuis longtemps et on a même profité dernièrement d’une offre à 0,99€/mois (au lieu de 19,99€/mois) et ça nous donne accès à 25Go d’internet par pays dans la moitié des pays que l’on va visiter.
Comme on est 2, ça fait 50 go d’internet, on est large pour ce qu’on va faire.

Pour les autres pays, on s’est dit qu’on prendrait des cartes SIM locales et qu’on utiliserait le forfait de la même façon que notre forfait Free.

 

Pendant le voyage

Comme on a pris qu’un Mac pour 2, on alterne le travail dessus. Il faut dire qu’on ne peut pas conduire et travailler en même temps ^^.
Donc pour ce qui est en voiture, c’est plutôt simple. Et niveau batterie, on a acheté un convertisseur qui nous permet de recharger l’ordinateur quand on roule.

 

travail tour du monde
Sur la route pour Los Angeles

 

Quand on n’est pas en voiture, on priorise en laissant l’ordinateur à celui qui a la tâche la plus importante à faire et qui ne peut pas être faite avec le téléphone.

Niveau batterie, dès qu’on peut recharger on le fait même si c’est pour 20% de batterie. Et on économise l’énergie en réduisant les applications ouvertes, la luminosité, …


Et si on est au milieu de nulle part, on s’est acheté un chargeur solaire pour les téléphones.

 

Ce à quoi il faut faire attention

 

• Prévoir le manque de réseau

Ça arrive souvent quand on va dans un parc éloigné des villes ou également sur une route en fond de vallée entourée par des montagnes de plus de 2000 mètres.

Quand c’est comme ça, la seule solution est d’anticiper pour ne pas avoir à faire quelque chose sur internet sur cette période. Il est possible de prévoir du travail à faire Hors Ligne.

Si vraiment il y a quelque chose d’indispensable à faire lors de cette période, alors il faut déléguer cette tâche à une personne de confiance.

 

• Surveiller son forfait

Pour ça, à chaque fois qu’on arrive dans un pays, on remet à 0 les données de nos Iphones afin de savoir exactement combien de Go on a utilisé depuis notre arrivé dans le pays.

L’autre avantage (en tout cas avec les iphones) c’est que tu peux surveiller où tu consommes le plus de connexion.

 

travail tour du monde
Partie des données utilisées au Canada après 20 jours

Ça te permet d’identifier pourquoi tu as tout à coup 1 Go de ton forfait qui a été consommé. Si tu as une application qui consomme beaucoup, alors il faut te poser les questions suivantes :
• Pourquoi est-ce qu’elle consomme autant ? (Publication de vidéos sur les réseaux sociaux, transfert sur ton drive)
• Est-ce que ce que fait cette application peut attendre d’avoir le wifi pour économiser ton forfait ?

Voilà notre retour pour le moment sur comment nous travaillons tout en voyageant. On pourra apporter encore plus de retour d’expérience au fil de notre voyage.

Le passage de la micro-entreprise à l’entreprise individuelle

Pour démarrer une activité de prestation de services, un porteur de projet peut choisir de devenir micro-entrepreneur, en vue de bénéficier des avantages fiscaux qu’offre ce statut. En effet, les micro-entreprises se créent très facilement et leurs exigences en termes de gestion sont bien plus simples que dans le cas des autres entreprises.

Mais au fur et à mesure que l’entreprise évolue, le dirigeant peut ressentir le besoin de passer d’une micro-entreprise à une entreprise individuelle. Ce passage est même obligatoire dans certains cas. Mais qu’implique-t-il ? Quelles démarches faut-il suivre quand on désire passer de la micro-entreprise à l’entreprise individuelle ; et quels changements interviennent suite à cette opération ?

Le présent article, rédigé pour vous par le site Captain Contrat, vous éclaircit par rapport à ces interrogations.

Les cas de passage d’une micro-entreprise à une entreprise individuelle

Rappelons d’entrée qu’un micro-entrepreneur est déjà une entreprise individuelle. En effet, le régime de micro-entreprise n’est qu’un régime fiscal et social ajusté avec une comptabilité simplifiée. Mais pour continuer à bénéficier des avantages de ce régime simplifié, le code des impôts prévoit deux seuils de recettes à ne pas dépasser. En 2018, ces seuils sont de :

  • 170 000 euros pour les entreprises commerciales et celles proposant des services de locations saisonnières de tourisme et de chambres d’hôtes classées en zone de tourisme.
  • 70 000 euros pour les entreprises de services et les gîtes ruraux non classés en meublés de tourisme.

Si votre micro-entreprise marche bien et que vous franchissez lesdits seuils au cours d’une année N, vous basculez automatiquement en entreprise individuelle classique à compter du 1er janvier de l’année N+1.

entreprise individuelle

Par ailleurs, sans dépasser les deux seuils évoqués ci-dessus, un micro-entrepreneur peut décider de changer le régime de son entreprise. Plusieurs raisons peuvent justifier la décision comme par exemple de l’augmentation de charges de fonctionnement.

En effet, comme vous devez déjà le savoir, avec le statut de micro-entrepreneur, le fisc ne tient pas compte des charges réelles pour déterminer les impôts et charges sociales. Ces derniers sont calculés après avoir appliqué un abattement forfaitaire au chiffre d’affaires déclaré. En 2018, ces abattements sont de :

  • 71 % pour les activités commerciales ;
  • 50 % pour les activités non commerciales et/ou artisanales ;
  • 34 % pour les activités libérales.

Si étant un micro-entrepreneur, vos charges réelles dépassent les abattements forfaitaires ci-dessus, alors vous avez tout intérêt à passer de la micro-entreprise à une entreprise individuelle classique.

Le changement de régime se fait sans démarche outre mesure. Il suffit d’adresser au CFE – centre des formalités d’entreprise – compétent, un courrier indiquant la décision de renonciation au régime de micro-entrepreneur.

Le courrier doit être envoyé au plus tard le 31 décembre de l’année en cours, si vous souhaitez bénéficier du changement de régime à partir du 1er janvier de l’année suivante.

Quels changements interviennent après le changement de régime ?

Comme vous vous en doutez, une micro-entreprise subit de nombreux changements lorsqu’elle se transforme en entreprise individuelle. Ces changements sont relatifs à la comptabilité, à la fiscalité et aussi aux cotisations sociales.

entreprise individuelle

Sur le plan de la comptabilité, il faut noter que les obligations d’une entreprise individuelle sont plus lourdes que celles d’une micro-entreprise. En effet, le dirigeant d’une entreprise individuelle doit :

  • enregistrer de façon chronologique toutes les opérations affectant le patrimoine de l’entreprise ;
  • établir un inventaire complet au moins une fois par an ;
  • établir des comptes annuels – bilan, compte de résultat et annexe – à la fin de chaque exercice comptable.

Notons ici que les factures de l’entreprise doivent être mises à jour après le changement de régime. En effet, dans les entreprises individuelles, les factures comportent certaines mentions obligatoires ne figurant pas sur celles des micro-entreprises.

Sur le plan fiscal, l’entrepreneur ne bénéficie plus de l’abattement forfaitaire évoqué dans le paragraphe précédent. Il est imposé sur son bénéfice réel, avec une prise en compte de ses charges.

En ce qui concerne les cotisations sociales, le changement est relatif à la méthode de calcul. En effet, pour un micro-entrepreneur, les charges sociales sont calculées en appliquant un taux fixe aux recettes enregistrées. Mais pour une entreprise individuelle, le calcul ne se fait plus sur les recettes mais sur le bénéfice réalisé. On applique à ce dernier, un taux moyen généralement compris entre 40 à 45%. Toutefois, l’entrepreneur reste toujours affilié au régime des travailleurs indépendants.

Pour finir, notons qu’il est conseillé aux dirigeants d’entreprises individuelles d’adhérer à un organisme de gestion agréée (OGA). L’objectif est d’éviter la majoration de 25% appliquée aux sociétés non soumises à l’IS (impôts sur les sociétés) et imposées selon le régime réel.

Et la TVA ?

Les petites sociétés peuvent demander au service des impôts, sur courrier simple, à ne pas être imposable à la TVA, dès lors que leur chiffre d’affaires demeure inférieur à :

  •     82.300 euros pour les activités d’achat-revente,
  •     32.600 euros pour les entreprises de services et BNC

Ces seuils sont les anciens seuils de « micro-entreprise » qui n’ont pas été doublés pour la TVA.

Au-delà, et même pour une micro-entreprise, on est soumis à la TVA.

Une entreprise individuelle, même au chiffre d’affaires inférieur à ces seuils peut demander à être soumise à la TVA. Si elle a beaucoup d’achats auprès d’entreprises soumises à la TVA et que ses clients sont aussi des sociétés soumises à la TVA, ceci peut être intéressant.

entreprise individuelle

Si la société peut ne pas facturer la TVA à ses clients (particuliers), alors c’est un avantage commercial.

La question de la TVA est à examiner séparément et en prenant en compte toutes les conséquences (dont les obligations comptables qui en résultent).

En résumé

Notons que le passage d’une micro-entreprise à une entreprise individuelle peut se faire de façon automatique ou volontaire. Il est automatique lorsque l’entreprise franchit le seuil de recettes prévu par le code des impôts ; et volontaire lorsque sans franchir le seuil, le micro-entrepreneur choisit lui-même de procéder à un changement de régime.

Pour ce faire, il adresse simplement un courrier au CFE du siège de l’entreprise.

Lorsqu’on procède à un changement de régime, il est important de faire attention aux changements qui interviennent. Le passage d’un régime à un autre peut avoir beaucoup d’avantages, mais également des inconvénients. Il ne faut donc pas le faire en fonction d’une situation ponctuelle mais en réfléchissant à son intérêt à moyen et long terme.


Vendre ses services en ligne: comment générer 500€ par mois rapidement ?

1

À notre époque, qui ne rêve pas d’arrondir ses fins de mois avec un peu plus d’argent ? Souvent, le hic, c’est qu’on ne sait pas par où commencer pour augmenter nos revenus. Dans cet article, je vais te montrer une méthode qui marche, que j’utilise moi-même, pour vendre tes services en ligne et voir les résultats rapides.

Premier pas : Plonge dans le freelancing en ligne

Pour commencer, il te faut une plateforme où proposer tes talents. Je te conseille vivement ComeUp (anciennement 5euros.com) pour un public francophone et/ou anglophone, et Fiveer pour toucher une audience internationale.

vendre ses services en ligne

Étape 1 : Crée ton profil et choisis ton service

Rends-toi sur ComeUp et/ou Fiveer et crée ton compte. Tu y trouveras une multitude de catégories de services. Que tu sois graphiste, rédacteur, développeur web, ou autre, tu trouveras sûrement quelque chose qui te correspond.

Il y a de nombreuses catégories de services et je suis sûr qu’il y en a une où tu pourrais proposer un service:

  • Design et Graphisme
  • SEO et communication
  • Audiovisuel
  • Site et développement
  • Rédaction
  • Réseaux sociaux
  • Business
  • Formations et Coaching
  • Vie quotidienne

Comme tu peux le voir, la liste est très diversifiée. Je te laisse maintenant passer à l’étape numéro 2.

Étape 2 : Mise en place de ton micro-service

Maintenant que tu as une idée du service que tu pourrais vendre. Tu peux soit te former si tu ne penses pas à être à la hauteur (plein de formation pas chère ici) ou bien créer le micro-service si tu as déjà les compétences nécessaires.

Je te conseille avant de créer ton service de regarder ce que fait la concurrence. Si tu veux faire des logos, mets-toi dans la peau de quelqu’un qui cherche à demander un service de création de logo. Regarde et inspire-toi de ce que font les autres (de préférence les meilleurs) pour créer ensuite ton propre micro-service.

Attention à ne pas faire de copier-coller. Il faut seulement t’inspirer pour voir ce qui fonctionne !

Étape 3 : Rends visible ton micro-service

Plus tu proposes un service où il y a de la concurrence, et moins tu seras visible par les clients.
Alors au début, je te conseille de proposer un service plus attractif que les autres au niveau du tarif. Par exemple, créer 2 logos de plus que ce que font les autres au même tarif.

Au début, tu ne vas pas être très rentable mais l’objectif est que tu puisses rapidement avoir des notes afin que l’algorithme du site ComeUp te fasse monter dans les résultats de recherche.

Tu peux aussi partager ton service dans des groupes facebook spécialisés sur le sujet de ton service (sans faire de SPAM).

Tu peux aussi faire un beau visuel pour attirer l’œil au premier regard des clients potentiels, voir même tu peux faire une vidéo.

Propose un délai de livraison très rapide. C’est très agréable de demander un service et se dire qu’on va le recevoir le soir même.

Si tu as une vitrine de ce que tu as déjà accompli, alors c’est un avantage qu’il te faut utiliser. Si tu fais des visuels, alors montre des exemples dans les photos de ton service.

Etape 4 : Augmente tes tarifs et enrichis ton offre

Une fois que tu as réalisé quelques ventes et que tu as des bonnes notes, ou même avant, tu peux ajouter des options à tes micro-services.

Par exemple, si ton service de base c’est de traduire un texte de 300 mots, tu peux proposer que le texte soit amélioré en plus d’être traduit. Et tu peux demander plus d’argent pour cela.

Ou alors tu peux tout simplement augmenter le prix de ton service ou bien la quantité que tu fournis pour le même prix.

Conclusion : C’est parti !

Lancer un micro-service en ligne, c’est à la portée de tous et ça prend juste quelques minutes. En suivant ces conseils, tu peux vraiment commencer à gagner plus chaque mois. Alors, qu’est-ce que tu attends ? Lance-toi sur ComeUp et Fiverr et transforme tes compétences en cash.

JE ME LANCE SUR COMEUP

JE ME LANCE SUR FIVERR

4 façons de rendre plus facile ta vie d’entrepreneur

Les entrepreneurs portent généralement plusieurs casquettes. Pas seulement 2 ou 3 mais souvent bien plus. L’astuce pour rendre tout cela plus simple est de retirer quelques casquettes.

Combien est-ce que tu en portes de ton côté ? sûrement beaucoup comme:

  • Entrepreneur
  • Gestionnaires des réseaux sociaux
  • Directeur des ventes
  • Service client
  • Comptable
  • Et beaucoup d’autres…

Pour certaines personnes, c’est amusant (en tout cas au début) d’assumer toutes ces différentes tâches, ça permet d’apprendre toujours de nouvelles choses.

L’astuce consiste à déterminer comment faire toutes ces choses efficacement. Ce n’est pas une tâche facile, et en fait, c’est généralement impossible.

entrepreneur multi tache

Le fait est que bien que les entrepreneurs ont tendance à être capable de gérer de nombreuses tâches et de porter beaucoup de casquettes, il arrive un moment où les résultats entraînent des rendements décroissants.

Alors voici un meilleur plan:

1. Fais une liste de tes tâches non essentielles

En tant qu’entrepreneur, il y a des choses essentielles que tu fois faire et d’autres choses qui doivent être laissées à quelqu’un d’autre. Le gourou de la gestion du temps, Timothy Ferris, dit qu’il a tellement bien réussi à déléguer les choses non essentielles qu’il a finalement atteint la fameuse semaine de travail de quatre heures.

Alors oui, il y a probablement beaucoup de choses que tu fais qui pourraient êtres traitées par quelqu’un d’autre. Ton temps précieux devrait plutôt te servir à échanger avec des clients importants, obtenir plus de marchés, penser stratégiquement, et aussi au côté marketing.

Bien sûr, dans ton secteur d’activité, il y a d’autres choses que toi seul peut gérer. Mais on sait tous les deux qu’il y a aujourd’hui une liste de tâches que tu pourrais déléguer à quelqu’un d’autre.

Alors commence par la lister.

2. Fais une liste de choses pour lesquelles tu n’es pas particulièrement bon

Mis à part les responsabilités non essentielles, tu fais sans doute des tâches importantes pour lesquelles tu as peu ou pas d’aptitude ou de formation. Celles-ci prennent généralement beaucoup de temps, nécessitent un apprentissage important, et donc n’occupe pas ton temps de la meilleure façon.

Liste-les aussi.

3. Délègue déjà à ceux qui t’entourent

Si tu as des employés ou des entrepreneurs avec qui tu travailles, il est probable qu’ils aient certaines compétences que tu n’as pas. Donne-leur certaines de tes tâches et regarde si le fait de déléguer en valaist le coup par rapport au temps que tu as gagné à faire autre chose de plus important.

Si tu n’as pas de personnel, peut-être tu peux demander un coup de mains à ton/ta conjoint(e) ou tes enfants ?

Si tu ne sais pas où trouver un freelancer pour réaliser quelque chose hors de tes compétences, tu peux regarder sur ce site: 5euros.com

4. Apporte de l’aide:

Bien sûr, une raison pour laquelle de nombreux entrepreneurs portent tant de casquette est que ça semble être l’option la plus abordable.

Pourquoi embaucher quelqu’un quand tu peux le faire toi-même? C’est bien sûr une pensée à court terme.

Aucune entreprise n’a grandi jusqu’à ce que l’entrepreneur se rende compte qu’il ne pouvait pas tout faire lui-même. Il vaut parfois mieux payer quelqu’un pour qu’il réalise un service plutôt que d’y passer beaucoup trop de temps à le faire soi-même.

J’espère que cette article te met la puce à l’oreille sur le fait que tu n’es pas obligé de tout faire toi même. Et aussi que le gains économique à faire toi même ne remplace pas le gains de temps à faire quelque chose de plus important.

9 Raisons pour lesquelles être perfectionniste est une mauvaise chose

Quel est le problème de vouloir à tout prix que quelque chose soit parfait? Rien, à part que ça te mène l’échec . Et c’est exactement ce qui peut arriver aux perfectionnistes s’ils ne changent pas.

Le perfectionnisme se réfère à la mentalité du tout ou rien: ça doit être parfait sinon ce sera considéré comme un échec.

perfectionniste

Voici 9 raisons qui montre que le perfectionnisme conduit à l’échec.

1. Ce que tu fais n’est jamais fini

Pour les perfectionnistes avec des normes élevées, un projet ne fini jamais parce qu’il ne répond pas aux critères de «parfait».

Et souvent le projet fini par ne jamais être lancé puisqu’on ne le trouve pas parfait, et comme il ne le sera jamais, le perfectionniste retarde le lancement jusqu’à l’abandonner totalement.

En gros, tu continues à travailler sur une tâche mais tu ne la termines jamais car il y aura toujours un petit truc imparfait.

2. Le perfectionniste est stressé et mécontent

Le perfectionnisme est extrêmement stressant parce que il s’inquiète constamment de tout rendre parfait. Rien n’est jamais assez bon, et cet état d’esprit le prive de se sentir satisfait et satisfait du travail des collègues et collaborateurs.

C’est ni bon pour lui, ni pour son entourage!

3. Le perfectionniste ne prend pas de risques

Comme il veut que tout soit parfait, le perfectionniste est alors alimenté par une peur intense de l’échec. Et la meilleur façon de ne pas échouer, c’est de ne rien faire.

Donc l’état d’esprit qui en ressort c’est:  » Si je ne peux pas le faire parfaitement, alors je ne vais même pas essayer »

Donc il ne prend pas de risque à sortir de sa zone de confort pour par exemple trouver des partenaires, pour rendre son entreprise plus visible, faire une interview, etc …

4. Sa créativité est à bout de souffle

Si t’es constamment stressé à vouloir faire quelque chose de parfait (et sans échouer), alors ton imagination et ta créativité en ressortent complètement écrasés.

Et l’innovation, qui est nécessaire au succès et aux changements positifs, est entravée.

5. Le perfectionniste s’efforce de garder tout le monde heureux

En tant que perfectionniste, t’es souvent quelqu’un d’agréable, accordant beaucoup à l’image que les autres pensent de toi.

Avec ta pensée tout ou rien, tu te vois comme «bon» si les gens t’apprécient et «mauvais» s’ils ne t’apprécient pas.

Malheureusement ce comportement apporte beaucoup de difficulté dans la prise de décisions et mène à éviter les conversations importantes, de peur de vexer l’autre.

Et ça paralyse ton travail, tes projets.

6. Le perfectionniste est très critique envers les autres

Les perfectionnistes se jugent constamment. Ils peuvent faire remarquer ouvertement ce que les autres font de mal ou alors plus passivement, en disant des choses comme: «Ça à dû être agréable de pouvoir rentrer à la maison à 17 heures au lieu de finir ton travail. »

C’est vraiment pas bon pour la productivité de l’équipe et les relations, et ça peut conduire à l’échec.

7. Il ne peut pas déléguer

Être perfectionniste signifie souvent que tu as du mal à déléguer des tâches à d’autres. Avec une mentalité du tout ou rien, tu crois très probablement qu’il y a une bonne façon de faire quelque chose et que toutes les autres façons ne sont pas bonnes.

Et parce que les autres n’ont pas toujours la même compréhension que toi, tu pourrais ne pas approuver leur façon de penser. Donc tu en viens à penser que c’est plus facile de le faire toi-même .

Mais ne pas déléguer quand tu le peux peut causer toutes sortes de problèmes à ton entreprise ou ton travail. Et c’est aussi du stress en plus.

8. Il personnalise tout

Un perfectionniste a une estime de soi conditionnelle, ce qui signifie qu’il croit en lui, seulement si les choses vont parfaitement, si les gens l’aiment, s’il fait du bon travail.

Entendre n’importe quel avis négatif est assez difficile parce que il a tendance à le personnaliser, en pensant que ça traduit un échec.

Alors le perfectionniste se dit « Si j’ai échoué, alors je suis un échec » au lieu de prendre en compte les commentaires dont il a besoin pour devenir meilleur, ce qui peut finalement le conduire à un réel échec.

9. Le perfectionniste ne se repose jamais

Le perfectionniste a souvent la conviction qu’il va se reposer quand le travail sera fait. Bien sûr, le travail n’est jamais fait parce que ce n’est jamais parfait. En tant que tel, il y a un risque élevé  d’atteindre un épuisement total (burn out), ce qui est un moyen infaillible pour faire échouer son entreprise ou sa carrière.

Si tu te reconnais dans ces 9 raisons ou bien que tu connais quelqu’un qui y ressemble, partage-nous ton ressenti 🙂

Une façon simple de gagner de l’argent sur internet

8

Tu fais souvent des commandes sur internet? Alors tu aurais pu faire des économies si tu avais connu ça avant. Je vais te parler du site Swagbucks qui te récompense pour ce que tu fais sur internet. On t’explique tout ci-dessous.